A mentionner, cet encart sur le web dont la thématique est « l’automobile » et qui va vous séduire.
Son titre saisissant (Iannone heureux, Martin condamné avec sursis…) récapitule tout le texte.
Annoncé sous la signature «d’anonymat
», l’écrivain est positivement connu.
Cet éditorial peut par conséquent être pris au sérieux.
Le papier a été divulgué à une date notée 2023-11-02 13:51:00.
Voici ll’article :
Je l’ai déjà écrit mais je suis dans une colère noire. Comme Michelin, fournisseur unique, veut garder un semblant de compète entre pilotes, il propose différents types d’enveloppes et de carcasses, pas les mêmes sur tous les circuits d’ailleurs. On a vu Jorge Martin perdre peut-être le championnat sur un pari de pneu Soft qui s’est écroulé à deux tours de la fin alors que Jorge avait quatre secondes d’avance sur la meute… Ce truc là est totalement acceptable, et merci à Michelin de recréer un peu de suspense sur le choix des pneus. En revanche, comme ses pneus avant sont très adhérents mais fragiles, on choisit de battre les records du tour au lieu de faire des pneus qui vont loin. Autant j’imagine que l’on autorise ça en qualifs par exemple (ah le délicieux temps des pneus de qualif, qui existent encore en WSBK…) mais en course, c’est la sécurité des pilotes qui est importante. Or le gonflage des pneus est très important pour les performances, un pneu surgonflé devient carrément dangereux, Michelin à l’inverse affirme que si un pneu sous gonflé va donner de l’adhérence, à terme il va se détruire et devient une tuerie. Système débile trouvé par les magiciens d’Oz qui écrivent les règlements, il y a un capteur sur le pneu, on connaît donc la pression en direct et en permanence, la pression minimale est 1,88 bar et si le pilote descend au-dessous durant plus de 30% du temps du sprint, 50% du GP, il est pénalisé. Le premier coup un averto, le deuxième c’est trois secondes perdues (Aleix Espargaro y a eu droit en Thaïlande) le coup suivant c’est six secondes etc… Or quand on suit un pilote de près, dans cette situation que l’on adore et qui s’appelle la baston, le pneu avant chauffe et se gonfle. Donc on part un poil sous gonflé pour qu’en cas de suivi de près on puisse garder de l’adhérence. Et qui est le con de l’histoire ? Le mec qui est devant de bout en bout, son pneu est rafraîchi et donc reste sous gonflé. Il y a donc une solution. Sur la grille de départ, on vérifie les pressions. On donne une tolérance de sous gonflage, on surveille que les pressions montent pendant la course mais le mec devant garde sa tolérance. Sinon il lui faudra passer derrière 30% du temps en sprint et 50% en GP. On marche sur la tête là… Les pilotes menacés de trois secondes de pénalité… Maverick Viñales, Dani Pedrosa, Franco Morbidelli, Raúl Fernández, Aleix Espargaró, Marco Bezzecchi, Pol Espargaró, Jorge Martin, Marc Márquez. Ces messieurs n’ont plus le droit de mener un sprint ou un GP de bout en bout… « On peut trouver plus con » disait un de mes potes « mais après faut le faire exprès… ».
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